Interview par le blog de la marque de soins cosmétiques curly Wassou De Provence
Ce n’est pas tous les jours que l’on a la chance de discuter avec une double médaillée d’or, championne d’Europe et de France de natation. Wassou De Provence est particulièrement fière de partager avec vous ce moment avec Assia Touati. Elle nous révèle que c’est dès l’âge de 8 ans qu’elle s’est lancée dans la discipline. La machine s’est mise en marche et elle n’a cessé de performer jusqu’au top. Découvrez avec nous comment la nageuse curly est devenue une des plus grandes nageuses françaises. Bien sûr, nous n’avons pu résister de lui parler Beauté, et notamment comment malgré l’exposition au chlore, ses boucles demeurent si resplendissantes.
Wassou De Provence : À 8 ans vous démarrez la natation pour ne plus la quitter, avec un parcours jalonné de succès. Comment la vocation est elle arrivée si vite et qu’est ce qui vous a orienté vers cette discipline ?
Assia Touati : J’ai commencé la natation sous avis médical car je suis asthmatique. J’ai tout de suite accroché avec cet élément et je m’y amusait beaucoup avec les copines. J’ai très vite eu de bons résultats, gagné des courses, battu quelques plus grandes. L’esprit de compétition m’a plu et je n’ai plus arrêté.
Comment ont réagi vos parents voyant votre intérêt grandissant pour le sport ? N’ont-ils appréhendé que cela dépasse les enjeux scolaires ?
Ah non pas du tout ! Ils ont toujours été très impliqués dans mon parcours sportif. Par contre il a toujours fallu avoir de bonnes notes à l’école aussi. Le double projet a commencé tôt.
Vous souvenez-vous de ce que vous avez ressenti en devenant doublement médaillée d’or et championne d’Europe chez les juniors à seulement 16 ans ?
De la joie ! On ne se rend pas forcément compte de ce que ça représente à cet âge mais j’étais déjà fière de moi. Cela félicite tout le travail fait jusqu’à là et ça m’a poussé à aller encore plus loin dans mon projet sportif. J’espérais pouvoir vivre ça encore plusieurs fois dans ma carrière.
Crédits photos : @theia_vision @jorisbouchaut
Votre succès vous le devez avant tout à vous même, cependant est ce qu’il y a une ou des personnes sans lesquelles vous pensez que vous n’auriez pu obtenir ce palmarès en constante évolution ?
Mes parents en particulier ! Ils ont toujours cru en moi et encouragé à faire ce que j’aime. Mais aussi mes coachs et mon entourage proche qui ont été présents pour moi.
De nouveau la consécration en 2018, vous devenez championne d’Europe aux championnats européens de Glasgow, est ce le titre dont vous êtes le plus fière ?
J’ai été très heureuse de devenir championne d’Europe avec les filles du relais. Cependant je ne dirais pas que c’est le titre dont je suis le plus fier car je n’ai pas participé à la finale. J’ai permis au relais de se qualifier mais malheureusement j’ai été ex aequo avec une autre relayeuse et le staff a préféré la choisir pour la finale car plus d’expérience. Je prend pleine part a ce titre, ça a été une joie partagée à 6 !
Vous êtes récemment intervenue en milieu scolaire auprès de jeunes enfants. Pourquoi avez vous accepté de les rencontrer et quel message souhaitiez vous leur transmettre ?
Depuis longtemps j’interviens dans les classes pour échanger avec les plus jeunes. J’ai toujours aimé pouvoir partager avec les enfants, ils sont pleins d’énergie et de curiosité. J’ai aussi voulu montrer que les femmes aussi peuvent devenir de grandes sportives, ce n’est pas réservé aux hommes et elles peuvent elles aussi s’y épanouir. Beaucoup n’osent pas et c’est dommage !
Crédits photos : @theia_vision @jorisbouchaut
La nature et beaucoup d’entraînement vous ont donné d’incroyables capacités physiques. La nature encore et très certainement vos parents y sont pour beaucoup s’agissant de votre beauté ; quelles sont les origines de vos parents ?
Haha ! Merci à vous ! Mes parents sont tous les deux d’origine Algérienne. Mon père est Oranais et ma maman Kabyle.
Comment parvenez vous à allier entraînement intensif, compétitions, et le glamour naturel dans votre vie quotidienne, notamment ces bouclettes méditerranéennes : quelle est votre routine de soins sachant qu’elles sont en contact fréquent au chlore ?
Il faut dire que j’ai beaucoup de chance avec mes cheveux! Malgré tous les produits chimiques qu’ils rencontrent, je parviens quand même à avoir des jolies boucles. Je sais que ce n’est pas l’idéal mais je les lave souvent, quasi tous les jours pour retirer le chlore… En rentrant à la maison je mets une noisette de masque sur la masse pour les nourrir (mais pas trop sinon le bonnet glisse le lendemain ). Tous les week-end j’essaie de faire un masque, y mettre des huiles et les laisser lâchés au naturel avec un conditionneur. J’ai connu des amis et cousines qui n’aimaient pas leurs boucles plus jeunes et faisaient beaucoup de lissage. Pour ma part j’ai toujours aimé les cheveux bouclés ! Je ne leur ai pas fait trop de mal dans le passé alors ils me le rendent bien aujourd’hui.
Après avoir testé nos produits, pouvez vous nous dire ce qu’ils vous ont laissé comme impression ?
L’huile capillaire et le masque cheveux, Top ! Ce sont de bons produits ! J’ai été très étonnée du shampoing solide et de l’après-shampoing solide !!! J’avais un apriori là dessus et finalement ils sont très bien !! Et le rendu des cheveux vraiment sympa !
Quel est l’endroit à Toulouse, votre ville d’adoption, l’endroit que vous aimez, où vous vous sentez bien, et vous y emmèneriez quelqu’un qui ne connait pas cette ville afin de lui faire plaisir ?
Je suis très gourmande, alors sans hésiter je l’amènerais dans un salon de thé que j’adore! C’est en plein centre ville. Ça permet de passer un super moment, parler, rigoler et se balader devant le capitole et les boutiques de Toulouse. Ça s’appelle le « Flower’s café ». Je devrais y avoir un abonnement à force d’y aller et d’en parler à mes proches.
Crédits photos : @theia_vision @jorisbouchaut
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